Au printemps 1973, Isabel et Diego exposent au Théâtre de Colombes - Maison des jeunes et de la culture Le fascicule de l'exposition présente le travail d'Isabel. En conclusion une citation de Vassily Kandisky sur le BLANC : "... Avec Isabel Echarri, c'est plus carrément d'objets qu’il s'agit et un trouble nous saisit devant, ses oeuvres qu'elle nomme…Lire la suite L’exposition « Espaces Blancs »
Les traces du quotidien – partie 2/2
"Les traces du quotidien" interroge à la fois sur la représentation d'un instant et sur ce qu'il en reste des années plus tard. "Les traces du quotidien" fait référence à une exposition éponyme de Jacques Doucet, seul peintre français du mouvement CoBrA. Nous sommes en 1989 à la galerie suédoise GKM de Malmö. Ses déclarations illustrent détermination,…Lire la suite Les traces du quotidien – partie 2/2
Les traces du quotidien – partie 1/2
Isabel est 100% analogique. Elle le restera très certainement. Les numéros de téléphone sont inscrits sur un calepin. Ses pages en sont grignotées par le temps.
Goya-esque !
Mi-septembre, en postant sur Facebook les photos d'Isabel prises par Melba Levick à Formentera, un commentaire : "J'adore ... totalement Goya-esque dans l'esprit".
Les peintres du silence
Article publié suite à l'exposition de la Galerie Henri Meyer à Lausanne La « Musique Muette » louée par John Cage, est-elle devenue si nécessaire au milieu du grand fracas de notre siècle ?... A cette question angoissée Etcheverry et Echarri répondent par la blancheur de leurs œuvres où la non-couleur se découvre en définitive, sinon…Lire la suite Les peintres du silence
Dialogue ininterrompu
"Les petites boules blanches expriment la vie, la procréation. Ce tableau, c'est le besoin de se retrouver, de parler, d'échanger, pour continuer à vivre. Dans cette composition abstraite, deux lèvres s'échappent de terres nourricières. Elles s'entrebâillent dans le besoin de libérer la parole symbolisée et fragilisée par le fil. Dans la diagonale, c'est la rencontre, sinueuse, entre des boules plus grosses."
Isabel, en mode haute couture !
Le lendemain du vernissage, Isabel est présente. Elle est toute accaparée à vérifier chaque oeuvre quand elle reconnait un couturier très célèbre, visitant l'exposition.
Vida y muerte (Life and death)
Au coeur de la citadelle Dalt Vila, au détour d'une de ses étroites ruelles, de l'un de ses escaliers, le MACE est un écrin aux lignes épurées. C'est un bâtiment aux murs épais, emblématique du 17ème siècle. Des vestiges gallo-romains sont visibles à travers un sol de verre, au fil d'une déambulation en lévitation.
– Mathias, c’est le Basque !
Mathias pense avoir une idée pour Isabel, une maison de vente, la maison Leclere. - Mathias, retrouvons-nous directement à l'atelier d'Isabel. Vous jugerez sur pièce. Vous nous direz si cela vaut la peine d'aller plus loin !
Femmes, femmes, femmes
Le mardi 21 janvier 1986, au 53 avenue d'Iéna, c’est le vernissage de l’exposition "Femmes" du tout jeune Ministère des Droits de la Femme sous la direction d’Yvette Roudy, créé par François Mitterand en 1981.